Cette page rassemble les réponses aux questions que l’on pose le plus souvent à l’IFRES. Tu y trouveras à la fois des informations pratiques (inscriptions, déroulement des séances, participation) et des réponses à des questions existentielles sur la conscience, la mort ou l’esprit.
Clique sur les rubriques pour faire apparaître les réponses, et explore à ton rythme.
Questions pratiques
L’IFRES est une association à but non lucratif qui explore la réalité de la conscience en dehors de la biologie. Depuis plus de 30 ans, elle mène des expérimentations de transcommunication mentale et technique, dans une démarche rigoureuse, ouverte et respectueuse.
C’est une méthode de communication avec des consciences, par des moyens techniques (images, sons) ou mentaux (écriture automatique, perceptions). L’IFRES développe ses propres protocoles depuis plus de 30 ans.
Communication entre consciences utilisant la capacité psychique de l’être humain (intuition, écriture automatique, inspiration, clairaudiance, clairvoyance, etc.)
Communication entre consciences utilisant des dispositifs techniques, tels que le son et la vidéo pour l’IFRES.
Toute personne majeure, ouverte d’esprit, respectueuse et intéressée par la démarche peut s’inscrire à une expérimentation.
Les expérimentations ont lieu soit en présentiel, au local de l’IFRES, soit à distance par Visio, via Zoom. Elles sont encadrées par l’équipe et durent environ de 2 à 4 heures.
Chaque expérimentation est une expérience unique. Le participant est mis en relation avec une conscience (un esprit), à travers un canal médiumnique spécifique. Ce contact n’est jamais garanti, mais il est très rare qu’il ne se produise pas. L’échange peut porter sur une question personnelle, un besoin de compréhension ou une demande de conseil.
Un compte rendu écrit est ensuite envoyé quelques jours après, par email.
Une séance de Transcommunication Technique (TCT) se déroule dans la cellule de contact de l’IFRES. Elle repose sur l’utilisation d’un système expérimental conçu pour permettre à une conscience d’interagir avec la matière (sons, images, capteurs…).
Pendant l’expérience, le participant s’installe dans la cellule et tente de communiquer avec une conscience, à travers les dispositifs techniques mis en place (son et images).
Ces manifestations sont enregistrées, puis analysées après coup.
Pas du tout. L’IFRES n’impose aucune croyance, aucune vérité. Ce qui compte, c’est la curiosité, l’ouverture d’esprit et le respect du cadre expérimental. Chacune et chacun est libre de se forger sa propre conviction à partir de son expérience.
Tu peux donc venir avec des doutes, des questions ou simplement de la curiosité. L’essentiel est d’expérimenter par toi-même, librement.
C’est possible, mais ce n’est pas garanti. Chaque séance est unique, et chaque participant·e vit son propre ressenti. Le but n’est pas de « prouver », mais d’expérimenter, d’explorer.
Tu peux faire un don, devenir membre donateur (adhérent), acheter les ouvrages publiés, parler du projet autour de toi, ou même proposer une aide bénévole ponctuelle. Toute contribution est précieuse.
Toutes les infos sont disponibles dans la rubrique Soutenir l’IFRES du site.
La cellule de contact
Nous n’avons pas encore établi de statistiques précises pour la vidéo, mais vu la récurrence des résultats, il est peu probable que les résultats soit dus à un pur hasard. Pour le son, nous avons créé un dispositif permettant d’obtenir des statistiques, nous sommes, dans certains cas, à plus d’une chance sur 200 000 environ, donc improbables…
Se produit-il si personne ne se trouve là pour le percevoir ? Ou bien est-ce une sorte de communication émanant d’une source émettrice et exigeant un récepteur
C’est une interrogation très intéressante et peut-être même essentielle. La place de l’expérimentateur nous apparaît importante. Peut-être pas seulement dans la cellule ou bientôt la sphère, mais dans la position de l’observateur, qu’il soit assis au foyer de l’installation, ou dans la pièce où elle se trouve. Il semblerait que le fait même de vouloir communiquer suffit à mettre en place le facteur déclenchant du phénomène, rendant l’esprit pondérable, sans quoi il ne serait qu’une potentialité.
Participer à une expérimentation
Tu peux t’inscrire directement via le site, dans la rubrique Inscriptions – Devenir expérimentateur. Un formulaire simple te permet de choisir la date et le mode de participation.
Une confirmation te sera envoyée par email.
L’IFRES ne poursuit aucun but lucratif, mais a besoin de soutien pour continuer ses expérimentations. Une contribution aux frais de fonctionnement (CAFA) est demandée lors de l’inscription aux expérimentations, notamment pour les non-membres.
Cette contribution permet de financer le matériel, le loyer du local et le fonctionnement de l’association.
Elle prend la forme d’un don, à partir d’un montant suggéré, et ouvre droit à une réduction d’impôt (66 % du montant si tu es imposable).
Les membres donateurs (adhérents), eux, participent gratuitement aux expérimentations.
Oui, bien sûr ! Tu peux t’inscrire à plusieurs expérimentations, tant qu’il reste des places disponibles. Chaque expérience est différente, et certaines personnes choisissent de participer régulièrement.
Pour les expérimentations en présentiel, la participation est individuelle afin de préserver la qualité du cadre expérimental. Si tu souhaites venir avec quelqu’un, il ou elle devra également s’inscrire séparément.
Oui, il suffit de prévenir l’équipe dès que possible, par message à contact@ifres.org. Cela permet de libérer la place pour une autre personne.
Tu reçois un email de confirmation avec les détails pratiques (date, heure, lien Zoom si en visio, adresse si en présentiel).
Vérifie d’abord dans tes spams ou courriers indésirables. Si rien n’apparaît, tu peux contacter l’équipe via le formulaire de contact du site ou par email à contact@ifres.org
Oui ! L’IFRES publie régulièrement des comptes rendus d’expérimentations sur le site, avec des extraits vidéo, des images et des analyses. Tu peux les retrouver dans la rubrique Résultats.
Déroulement des séances
Une fois inscrit·e, tu reçois un lien Zoom par email. Le jour J, installe-toi dans un espace calme avec ta caméra et ton micro activés. La séance débute par une courte introduction, puis l’expérience guidée commence. Aucun prérequis technique n’est nécessaire, juste une bonne connexion Internet et un esprit ouvert.
Les séances se déroulent dans les locaux de l’IFRES, à Sartrouville. L’adresse précise, les consignes d’accès et les horaires sont indiqué dans le formulaire d’inscription et envoyés par email après.
L’ambiance est intime, respectueuse, et propice à la concentration.
Il n’y a pas de préparation obligatoire, mais il est conseillé d’arriver dans un état d’esprit calme, détendu et réceptif.
Il est important de venir sans attente figée, dans une disposition intérieure paisible et curieuse.
Oui. Un temps d’échange est souvent prévu à la fin des expérimentations, que ce soit en visio ou sur place. Tu peux partager ton ressenti, poser des questions ou simplement écouter les autres. Il n’y a aucune obligation de témoigner, chacun·e fait comme il ou elle le sent.
Chaque séance est unique. Certain·es vivent des ressentis forts dès la première fois, d’autres ont des sensations plus subtiles, ou parfois rien de remarquable sur le moment. L’important est de rester dans l’accueil de ce qui vient — ou ne vient pas.
Aspects techniques et organisationnels
Commence par vérifier tes spams ou courriers indésirables. Si l’email n’y est pas, écris-nous via le formulaire de contact du site. Il est possible qu’une erreur de saisie dans ton adresse empêche l’envoi.
Oui, tu peux enregistrer l’expérience à laquelle tu participes.
Si tu amènes une clé USB, tu pourras repartir avec les enregistrements en TCT.
Un compte rendu est mis en ligne les jours suivants l’expérience TCT sur le site web, tu peux aussi enregistrer les clips vidéos, les images et le son.
Oui, l’inscription implique l’acceptation des conditions générales d’utilisation, qui incluent une clause de décharge de responsabilité. Cela garantit un cadre clair, transparent et libre pour chacun·e.
Ressources et soutien
Dans la rubrique Résultats du site, tu peux découvrir une sélection d’extraits issus des séances : transcriptions, images, vidéos ou enregistrements audios. Ils sont partagés et commentés par l’équipe IFRES pour en éclairer le contexte.
L’IFRES a publié plusieurs livres issus d’expériences de transcommunication mentale, relatant les témoignages de consciences. Parmi eux : Daniel, je sais pourquoi, Dans l’ombre du corridor, Ce que tu m’as donné, JEAN, et un Album TCI regroupant des images obtenues en transcommunication technique.
Ils sont disponibles à l’achat sur le site dans la rubrique Livres, et leur vente soutient les activités de l’association.
Oui, c’est possible. L’association fonctionne en grande partie grâce à l’implication de bénévoles. Tu peux proposer ton aide, ponctuellement ou régulièrement, selon tes envies et tes disponibilités.
Tu peux écrire à l’équipe via le formulaire de contact sur le site. Une adresse email est également indiquée pour toute question spécifique. L’équipe répond toujours avec bienveillance, dans les meilleurs délais.
Questions existentielles
L’esprit et la conscience
Nous utilisons le mot esprit pour définir une conscience, une énergie intelligible exprimant des pensées. Il n’y a rien d’occulte, il ne s’agit pas de fantôme ! Il s’agit d’une conscience, sans aucune considération biologique.
Notre expérimentation nous a appris que le siège de la conscience est la matière et qu’ils sont indissociables. L’esprit, la conscience, utilise la matière pour s’exprimer.
Chaque esprit est une entité en soi et, dans le même temps, fait partie de l’Esprit. Chaque esprit est un fractal de l’Esprit. Chaque être humain est un fractal de sa conscience plus globale, elle-même fractale de la conscience du tout, de l’Esprit.
Nous sommes tous un et contribuons à un tout.
Nous parlons de l’Esprit en faisant référence à l’entité de conscience originelle, globale. Il est la somme de tous les esprits. La Conscience de toutes les consciences.
C’est le Tout. L’Energie, somme de toutes les énergies.
Un esprit, une conscience, est une énergie, car son siège est la matière, qui n’est que de l’énergie dans un état spécifique.
Nous savons que l’énergie ne se perd pas, elle se transforme (cf. LAVOISIER 1743-1794 : « Rien ne se crée, rien ne se perd, tout se transforme », principe acquis depuis le 20e siècle). Donc l’énergie ne meurt pas, elle change d’état, notamment.
La conscience étant de l’énergie, elle ne meurt pas.
Vie, mort et existence / Matière et énergie
La vie est le « temps » entre la naissance (à définir) et la mort.
C’est l’espace-temps pendant lequel la matière est biologiquement agrégée pour former un « corps » (pour l’être humain).
Nous ne devons pas confondre la vie et l’existence.
On appelle la mort la désagrégation du corps biologique, dont l’énergie change d’état, dont la matière deviendra autre chose…
Ce n’est donc pas la fin, ni pour l’énergie, ni pour la conscience, ni pour l’esprit (qui sont la même chose, cf. ci-dessus).
L’existence est « la vie » pour les consciences incorporelles, sans début sans fin.
Elle est perpétuelle et inconditionnelle.
Nous vivons de notre naissance à notre mort, mais notre conscience existe avant notre vie, pendant notre vie (une partie au moins, un fractal de notre conscience « humanisée » le temps de notre vie…) et après notre vie, au delà de la « mort », de la désagrégation biologique…
L’être humain vit, sa conscience existe 😉.
Il s’agit du monde, de l’univers, de la dimension composés par les consciences incorporelles et corporelles, englobant toutes les consciences.
Que ce soit dans son état le plus élémentaire possible (particules élémentaires) ou dans son agrégation complexe (molécules, organes, êtres vivants – animal, végétal ou minéral…), la matière est omniprésente et perpétuelle (cf. LAVOISIER).
Elle est le siège des consciences (corporelles ou incorporelles), des esprits, de l’Esprit.
Il s’agit de ce qui est échangé entre deux éléments, apportant « vitalité ».
L’énergie est l’expression, la manifestation de la matière, de la conscience.
Perception et médiumnité
C’est l’expression médiumnique de l’être humain, donc d’être intermédiaire entre les consciences.
Ainsi, nous parlerons de Transcommunication mentale (TCM), c’est-à-dire la capacité à rendre disponible une partie de sa propre énergie pour les consciences afin de communiquer.
Il y a beaucoup de formes de médiumnité et nous sommes convaincus ne pas toutes les connaître…
Par exemple, nous parlerons d’écriture mécanique pour celui qui écrit des pensées transmises par des consciences incorporelles, sans qu’il en ait conscience (état léthargique, de sommeil actif ), mais aussi de médiumnité intuitive, d’incorporation, de clairvoyance, etc.
Oui. Ce n’est pas une question de don, mais de disponibilité intérieure. Comme un instrument de musique, la perception subtile se découvre, se règle, s’écoute, s’affine. Cela demande du temps, de la confiance en soi, du lâcher-prise… mais c’est une capacité présente en chacun·e.
Le médium est l’intermédiaire entre consciences, entre esprits. Il n’est pas une personne à part, rare, supérieure.
Tous les êtres humains sont médiums par nature, ils ont un potentiel médiumnique qu’ils développent, travaillent, expriment ou pas, parfois même sans le savoir.
Un médium désigne une personne qui s’entraînerait à transmettre une part de sa propre énergie aux esprits. (Allan Kardec)
L’IFRES ne met pas en avant un médium en particulier en considérant qu’il est le meilleur, le plus grand, le plus performant. Ces notions n’existent pas pour la dimension médiumnique de la Femme et de l’Homme, d’autant plus que nous ne mesurons pas en conscience toute la médiumnité de chacun. Beaucoup de la dimension médiumnique nous est encore « inconsciente », non mesurable par notre biologie.
L’IFRES s’engage auprès de chacun pour l’accompagner à « réveiller » ou « développer » sa propre médiumnité, en toute humilité.