Elle est composée de bénévoles et ses travaux ne sont financés que par les cotisations des adhérents et les dons
L’IFRES est une association loi 1901 créée officiellement en 1996. Laurie DUTOIT et Joël URY, Coprésidents et Cofondateurs, continuent à faire vivre cette association, aidés par une équipe motivée, mue par le même souci du partage et de la recherche. Elle est composée de bénévoles et ses travaux ne sont financés que par les cotisations des adhérents et les dons.
Pourquoi parlons-nous
aussi de Spiritisme ?
Au 19e siècle, dans toute la France l’avènement de ce qui était appelé « le spiritualisme moderne » (en vogue en Angleterre et aux États-Unis) déferlait. L’idée de pouvoir communiquer avec ce que l’on appelle Esprit ou Âme faisait son chemin. Dans le dédale des différentes idéologies spiritualistes qui s’inventaient, il fallait trouver de nouvelles définitions, plus précises. Le Spiritisme était alors codifié, apportant de nouveaux éléments de langage susceptibles d’orienter de fait, les études menées en ce sens. Puisque nous étudions nous aussi la communication possible entre ce que qui est reconnu comme le vivant et le mort (un pléonasme), nous nous définissons comme spirite.
L’IFRES poursuit logiquement l’étude des phénomènes attribués originellement au Spiritisme. Une étude qui a pour but d’observer la réalité de la conscience en dehors de la biologie d’un corps de chair. Une observation qui s’effectue au travers d’expériences médiumniques et de TCI. Cette recherche reste, encore à l’heure actuelle, en dehors de la science officielle, puisque entièrement basée sur une « existence » qui n’est pas admise par le corps scientifique par manque de mesure et d’outils pour le faire.
Dans son observation du monde, l’homme a inventé une mécanique pour expliquer les forces physiques qui régissent le monde visible. Puis il a dû en inventer une nouvelle pour tenter de expliquer les lois qui régissent l’infiniment petit. Et bien il lui faudra en inventer une troisième pour expliquer le monde de l’esprit. C’est ce vers quoi notre recherche nous emmène petit à petit.
Cette étude se fait en employant des procédés d'imagerie directement issus des sciences de l'optique (Holographie, Strioscopie)
L’objectif à long terme de notre association a été longtemps la production d’une image spatiale (en 3 dimensions) de type hologramme censée être formée par ce que nous nommons « l’esprit ». Elle s’oriente aujourd’hui vers la démonstration d’une récurrence (formation d’images intelligibles, ici dans la brume) que l’on ne peut attribuer qu’au simple hasard. Cette étude se fait en employant des procédés d’imagerie directement issus des sciences de l’optique (Holographie, Strioscopie). En schématisant, notre objectif est la démonstration expérimentale d’une réalité matérielle qui va au-delà des paradigmes habituels de la physique moderne (permanence du psychisme ou conscience en dehors de la forme physique).
Depuis le commencement de nos expériences, l'écran ou le réceptacle a toujours subi des transformations pour se "dématérialiser" dans la configuration
L’IFRES fait une recherche composée de différentes expériences de transcommunication instrumentale et médiumnique. Partie d’un système de TCI connu dans ce domaine d’activité, l’IFRES s’éloigne du conventionnel et s’engage dans la construction d’une nouvelle configuration permettant l’enregistrement vidéo et audio d’anomalies récurrentes. Bien qu’elle s’est orientée très tôt vers l’holographie (ou s’en approchant en utilisant le même principe de production) aujourd’hui l’IFRES utilise la Strioscopie (possibilité d’observer les perturbations normalement invisibles de l’air à l’œil nu) la production de formes aléatoires, l’interférence laser et la variation de la pression atmosphérique. La brumisation joue dans cette expérience le rôle d’un révélateur ou d’un catalyseur. Elle n’est pas un but en soi et pourrait très bien un jour être remplacée par autre chose.
Depuis le commencement de nos expériences, l’écran ou le réceptacle a toujours subi des transformations pour finir par se « dématérialiser en quelque sorte » dans la configuration. Ainsi la télévision a été remplacée par le vidéo projecteur et l’écran par un rideau de brume. Aujourd’hui nous explorons aussi les possibles influences que peut avoir l’esprit sur les formes aléatoires (voir l’expérience du poussin à ce sujet) espérant démontrer que le hasard ou la paréidolie ne peuvent être la seule explication des anomalies enregistrées.
La question du matériel est une préoccupation permanente à l’IFRES, ne pouvant nous contenter de matériel bon marché (souvent médiocre). L’optique, l’acoustique, le traitement des signaux qu’ils soient analogiques ou numériques (vidéo ou audio), s’accordent mal avec le manque de définition. Caméras à haute résolution et vitesse, objectifs professionnels, lentilles et accessoires pour laser, capteur de pression atmosphérique, Arduino, le matériel de qualité nous permet d’aller plus loin et d’écarter les risques de fausses interprétations dus à un manque de définition. Dans l’absolu, on peut faire de la TCI avec du matériel peu coûteux, mais dès l’instant que l’on veut étudier en profondeur le phénomène, l’à-peu-près n’est plus permis.
Aujourd'hui nous en sommes qu'au début, mais déjà nous pouvons observer des interactions intelligentes, répondant à nos sollicitations et ce en direct et sans attendre
Nos expériences se conjuguent aujourd’hui et plus que jamais, avec l’image et le son. À force d’étude, nous nous sommes dirigés vers un procédé audiophonique propre à créer des voix synthétiques directement actionnées par les esprits eux-mêmes. Il n’est donc plus question d’espérer enregistrer des voix formées par différents supports sonores ou directement sur les enregistrements (beaucoup plus rares), mais de proposer une sorte de clavier virtuel qui permettrait de prononcer des lettres et des mots puis des phrases selon l’influence des esprits. Aujourd’hui nous n’en sommes qu’au début, mais déjà nous observons des interactions intelligentes, répondant à nos sollicitations, et ce en direct.
La consécration de ce travail portera un coup décisif à la simple explication de la paréidolie
Depuis longtemps déjà, l’idée de créer une petite Cellule transportable était évoquée dans notre association.
Le principe est de placer celle-ci, appelée Satellite, dans un autre endroit que la grande Cellule et de les faire fonctionner en même temps. Les résultats, s’ils se croisent ou se complètent, seront la démonstration de la « non-localisation du phénomène« . La consécration de ce travail donnera un éclaircissement important du phénomène et réfutera la simple explication de la paréidolie (effet d’optique). Car même si nous recevons deux images floues, mais complémentaires, par exemple d’un côté 1+2 et de l’autre 3, il deviendra difficile d’expliquer ce phénomène par la simple interprétation de formes. Recevoir de telles images est un nouvel objectif pour nous, ayant commencé dans le genre avec les duplex via internet (que nous réalisons encore aujourd’hui avec les internautes lors de nos séances de TCI voir la page explicative).
C'est dire l'importance de ces séances, qui demandent patience, application et dévouement
Les expériences médiumniques de l’IFRES sont depuis toujours la corde sensible de notre recherche. En effet, pour ainsi dire, toutes les avancées techniques qui se sont installées au sein de l’association sont issues d’expériences médiumniques (ce qui ne nous empêche pas d’avoir une certaine initiative tout de même). C’est dire l’importance de ces séances, qui demandent entre autres patience, application et dévouement.
Il existe dans nos menées quatre types d’expériences médiumniques. Trois sont consacrées au phénomène d’écriture automatique produit par Joël et Laurie (duo médiumnique). Une seule est dédiée à l’exercice de la médiumnité chez tous ceux qui ressentent le besoin de s’orienter dans ce domaine.
Dans ces séances des échanges philosophiques se produisent. Dans un autre moment, des questions personnelles sont posées aux esprits. Enfin une séance est réservée au contact avec une seule entité venant partager son témoignage de vie (c’est ainsi qu’ont été reçus « Daniel, je sais pourquoi » , »Dans l’ombre du corridor » et « Ce que tu m’as donné »).