Lundi 05 septembre 2005

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Lundi 05 septembre 2005

Eux :
Est il préférable pour nous de nous manifester dans cette intimité et ainsi déverser, nos suppliques ou nos discours encensés ?

Nos visites n’ont de cesse et font parties de ce que vous nommez la nature. Pourtant ce fait n’a pas changé le sens catastrophique de certaines de vos menées.

Le genre humain de déroge pas aux déséquilibre du plus, du mieux et du plus confortable.

La manifestation que nous perpétuons ici avec vous est un élan sans forme ni mesure qui tend à l’éveil, c’est d’ailleurs l’énergie de celui-ci qui nous rassemble et décrypte sous la forme de l’écriture notre mouvance éternelle. Nous sommes l’omniprésence de l’univers, le canevas des cordes, la charpente de tout psychisme. Vous êtes nous et nous sommes vous tous. La manière avec laquelle nous nous faisons reconnaître est facultative, limitée, imparfaite par cela même, et ne doit pas intéresser les envieux ni les calculateurs.

Mais elle doit exciter en vous l’amour qui n’est pas en manque sachez le. Nous ne serons pas catastrophique mais insistant sur votre besoin de renouveau. Intéressez vous aux nouvelles choses, en mettant de coté vos acquis et surtout votre raison ordonnant.

Nous ne sommes pas là pour préserver l’obscurantisme, mais espérons à travers ces quelques lignes, trouver en vous la place nécessaire à cette ouverture.

Nous :
Si nous avons bien compris cela voudrais dire que l’on se renferme sur nous ?

Eux :
Pas tout à fait. Vous manquez d’audace

Nous :
Le manque d’audace, n’est t’il pas celui d’attendre d’aller vers les autres?

Eux :
Cela en fait partie. Vous voilà détenteur d’un principe, d’un devoir même et vous vous engagez dans cette route jalonnée en boudant les lumières qui attirent votre regard.
Attention toutes fois de ne pas vous perdre dans le miroir aux alouettes.

Nous :
Dans les travaux que nous faisons, ne pensez vous pas qu’ils serait temps pour nous de commencer à partager encore plus avec les autres ?

Eux :
Voici une preuve de vos bonnes inspirations

Nous :
Comment faire pour aller vers les autres et aborder le sujet si ils mettent un frein lorsqu’on leur parle de la mort ?

Eux :
A ceux qui mettent un frein, répondez par le sourire ou mieux par la non importance de tout ceci. Ne vous éreintez pas avec les personnes qui ne veulent pas entendre, il y a bien mieux à faire avec ceux qui sont mûre. Croyez vous que nous nous manifestions à ceux qui croient tout savoir, tout connaître et qui se borne à ce que leurs sens leurs dictent ?
Est ce un manque de charité que de laisser l’esprit fort dans son trouble ?
Non tout a une raison d’être et la négation du principe éternel aussi.

Nous :
Nous souhaitons organiser par exemple une journée sur la péniche de lise, pensez vous que ce soit par ce genre de rencontre que l’on puissent aller vers les autres ?

Eux :
Bien entendu.

Nous : Toujours dans l’objectif d’aller vers les autres, ayant proposé aux internautes de vous poser des questions concernant l’évolution de nos travaux, nous en recevons de plus en plus concernant des proches désincarnés avec le risque que certains essayeraient de nous piéger en nous demandant par exemple des nouvelles de personnes non désincarnées (ou qui n’existent pas) comme cela nous est déjà arrivé ? Comment faire pour ne pas froisser tous ces gens qui comptent sur nous ?
Quel serait votre conseil ?

Eux :
Nous comprenons vos craintes et elles sont fondées. De ce fait la prudence est de mise, oh non pas pour protéger vos égards, mais l’idée, le principe que vous véhiculez et qui n’est pas de votre due. Tenez-le vous pour dit ; ne promettez rien, n’avancez rien, ne trouvez pas de principe fondamentaux acquis et à l’épreuve de l’étude, mais restez ouvert à la spontanéité. Le principe formulé est comme les lois, sujet aux contours aléatoires et aux vues unilatérales, chose qui ne correspond pas aux ouvertures que nous souhaitons. Les demandes qui vous sont faites sont aujourd’hui louables, mais ne peuvent être ici rendues automatiquement, vous n’en avez pas la possibilité.
Rapprochez vous de ces gens, invitez les, rencontrez les. Le premier de vos devoirs est de les écouter. Quand à nous, nous nous chargerons de la communicabilité.

Nous :
Par rapport à ce que vous nous avez encore dit le 6 juin dernier, jusqu’à quel point pourrez vous nous expliquer ce qu’est votre vie et vos émois, ceci avec nos mots ?

Eux :
Nous ne pouvons vous dévoiler les choses que nous voulons, car les raisons ne peuvent les décrypter, les contenir. Alors à chacune de vos périodes nous déversons le même message, en aiguisant vos perspicacités. Nous vous le disons, les messages que nous écrivons sont des clefs psychiques qui occultement vous aide à concevoir l’étape supérieur et l’arrivage de nouvelles données qui prévalent l’ensemble.

Nous :
Comment faire pour que les connectés puissent se concentrer et surtout rester concentrés ? (Gérard)

Eux :
Ouvrez vous d’avantage. C’est à dire donnez leur la possibilité de suivre vos débats. Ouvrez-vous à ceux qui le désir bien naturellement.

Nous :
Nous avons un autre soucis. Nous aimerions avoir votre avis sur la responsabilité que nous avons quand aux messages que vous nous avez donné. Par exemple ceux que Joël Conca détient depuis plusieurs années et que nous n’arrivons pas à récupérer ?

Eux :
Il est bon que vous preniez conscience de la responsabilité que vous avez envers les messages ainsi donnés. Bien plus pour le fond du message donné que pour la forme.

Nous :
Mais quel conseil pouvez vous nous donner en ce qui concerne Joël C ?

Eux :
D’une part espérez qu’il en fasse bonne usage. Ne pleurez pas sur la fuite ni sur la cabale qui pourrait être faite sur vous. Mais suppliez que tout ceci reste dans le bon droit. Cet homme est en épreuve et la charge ainsi incombée ne l’aide pas. Dites lui donc que tout ceci ne vaut pas la peine de saborder tant d’énergie, d’amour et de fraternité.

Nous :
Nous essaierons de le contacter pour discuter un peu avec lui .
Maintenant nous avons une autre question qui nous est posée par un internaute (Pierre) : Si nous envoyons un laser sur un capteur réagissant à la lumière, seriez vous capable de perturber suffisamment ce rayon pour que l’on puisse le constater sur un oscilloscope ?

Eux :
Nous comprenons la question. Il y a là encore une confusion dans le principe laser que nous attendons de vous. Ce n’est pas le laser que nous perturbons, son rayon à proprement parlé, mais son onde de cohérence. En fait nous y créons des perturbations comme pour l’obtention d’un hologramme. Il ne faut donc pas mesurer les changements physiques du laser, mais les perturbations qu’il contiendrait. Différents moyens peuvent être mis en place, celui relatif à la photographie reproduit en vidéo est une bonne piste. Là le manque de précision dans vos capteurs CCD sera décisif.

Nous :
Un internaute demande ; comment peuvent-ils (les internautes) faire pour aider d’avantage le contact ?

Eux :
Voici une attention qui vaut toutes les énergies utiles. Le fait même de se soucier du contact montre une disposition adéquate. Que cette personne se rassure, sa ténacité aura raison de ses douleurs et de ses doutes.
Oui il y a un sens à tout ceci.

Nous vous laissons à vos existences.

Éric, Gabriel, Sébastopol.