Les esprits :
Mes chers amis, l’omniprésence de l’esprit explique les mystères de la matière, les mystères de la biologie corporelle, mais explique aussi l’assise de toutes les anathèmes car la forme de vos enseignements quels qu’ils soient ne peuvent être fondamentale. L’esprit est la source, l’élan et non la finalité d’un acte qui perdu dans la représentation n’est déjà plu au même présent de la décision. Les actes de chair, vos formes sont déjà très loin de leur source. Ne vous attardez pas sur des dimensions mais comprenez leur utilité facultative. Nous vous le disons vos vies passagères ne sont pas fondamentale dans leur aspect matériel. Seule l’essence compte. Servez vous de vos vies comme des leviers et non comme des signes qu’ils faillent choyer. Elever vous, c’est-à-dire aspirez au plus haut. Le travail qui vous incombe doit pourvoir à ce but et non faire tomber les comparaisons ou faire taire l’impie. Jamais le monde spirituel ne pourrait ostensiblement faire prévaloir une forme plus qu’une autre car il les embrasse toutes.
Une invitée dont nous avons oublié le prénom….
En fait le corps est un véhicule et c’est l’esprit qui compte, c’est la doctrine Spirite que l’on retrouve chez Allan Kardec !
Nathalie :
Je pense qu’il parle de l’essence de l’esprit, qu’il faille s’élever vers ça !
Camille :
Il n’y a pas de chemin privilégié par rapport à un autre !
Cinq questions préparées
01 :
Puisque nous envisageons d’installer un écran de fumée au Module, pensez vous que nous devrions diffuser une fumée constante pendant l’expérience, ou bien envoyer une fumée avant et expérimenter avec celle-ci ?
Les esprits :
Là aussi mes amis aller au plus simple.
Votre question suppose l’acceptation de l’abolition des écrans. Néanmoins, une image spatiale en trois dimensions suppose une restitution via un élément « captant » dirons-nous. Il existe plusieurs façons de produire un hologramme et de le restituer. Vous ne pouvez dans votre cas produire d’hologramme argentique. Vous devrez alors produire une image en trois dimensions dés sa captation, ce qui du coup vous renvoie aux technologies pointues a l’exemple de ce que vous nommez le « numérique ». L’holographie repose sur un procédé largement connu, fort simple dans son acceptation. Il suffit alors de mettre en place les éléments utiles et attendus pour le voir se réaliser. Un hologramme n’a pas obligatoirement besoin d’un plasma, d’un gaz ou d’une fumée pour être restitué. Tout dépend encore de celui qui le visualise et où il se situe. Il existe des hologrammes vidéo de restitution sans supports gazeux mais visible à travers la seule lumière d’un vidéo projecteur !
Essayez donc de réfléchir à cela, vous ne pouvez restituer d’hologramme à partir d’une plaque sensible, vous ne pouvez donc vous orienter que sur la numérisation de ce procédé. Vous devez aussi vous conformer à vos moyens et approcher au plus prêt nos avis.
Jean-Luc :
Si aujourd’hui nous sommes amenés à parler de fumée, bien c’est par ce que vous-même en avez parlé !
Les esprits :
Ce n’étaient que des exemples et non des souhaits…
(Via internet Julien nous fait part d’une nouvelle technique d’hologramme très compliquée, mais aussi très chère !)
Les esprits :
Oui nous sommes au fait de ces procédés. Nous aimerions ajouter que vous confondez la réalisation d’un hologramme et sa restitution. Il y a dans le procédé holographique tout d’abord l’exposition du sujet à la lumière laser puis la restitution de l’image ainsi créée. Dans votre configuration il est question d’installer la restitution d’un hologramme que nous matérialiserions, comprenez-vous ?
Brahim :
C’est eux qui vont créer l’hologramme !
Jean-Luc :
Nous, nous devrons arriver à le restituer !
Mais pour y arriver il faudrait que nous le filmions !
Les esprits :
Si vous voulez mettre en place la captation d’un hologramme, sa fabrication, il vous faudra une autre configuration !
Jean-Luc :
Il va falloir que l’on trouve le moyen de leur permettre de créer un hologramme !!
Au début nous pensions que ce devait être nous qui devions mettre créer un hologramme que les esprits pourraient moduler. Là c’est autre chose.
Les esprits :
Mes amis comprenez-vous le fonctionnement d’une diapositive ?
Gérard :
C’est la restitution d’une image négative !
Les esprits :
Non !
Jean-Luc :
Bien on ne sait pas…
Les esprits :
Qu’elle différence existe-t-il entre une image sur papier et une diapositive ?
Un invité dont nous avons oublié le prénom :
En diapo il n’y a pas de négatif !
Les esprits :
Le papier se regarde grâce à la réverbération de la lumière ambiante sur vos rétines. La diapositive se regarde avec la projection d’une lumière blanche contre un écran qui elle même viendra frapper votre rétine. Comprenez-vous cette différence ?
Jean-Luc :
Pour l’une on rajoute une lumière pour l’autre non !
Camille :
Pour la diapo l’on y fait traverser une lumière !
Les esprits :
Bien, il existe une analogie entre la production d’une diapositive avec sa projection et la production d’un hologramme et sa restitution.
L’avènement de la vidéo a permis de rendre simultané la production et la restitution que ce soit en photographie ou en cinéma. Il en est de même pour l’holographie numérique.
Jean-Luc :
En clair il faudrait que nous arrivions à filmer un hologramme que vous aller faire pour pouvoir le restituer avec le vidéo projecteur !
Donc vous allez matérialiser l’hologramme, que nous devrions capter pour ensuite le restituer avec le vidéo projecteur.
Gérard :
Et ensuite l’enregistrer !
Les esprits :
Tout dépend et vous l’aurez compris, du genre de restitution que vous aurez choisi. Aller au plus simple en sachant que nous avons choisi une restitution au laser…Pensez-y !
Julien via internet :
Et si c’étaient plusieurs lumières de couleurs différentes qui passent perpendiculairement à la lumière du vidéoprojecteur ?
Ces lumières seraient comme la diapositive !
Les esprits :
Nous comprenons ce détail, c’est la base même du Module et de son cadre.
2 :
Joël aimerait que vous donniez votre avis sur le laser que nous avons sorti de son boitier. La lumière est-elle plus pure, puisque direct ?
Les esprits :
Très bien !
3 :
Nous avons fait samedi dernier un essai avec les lentilles que Julien nous envoyait. Avez-vous ressentit celui-ci et qu’en avez-vous pensez ?
Les esprits :
Nous avons ce jour là ressenti également beaucoup d’agacement de votre part !
Ce qui est très troublant pour nous autres.
Pour ce qui est du résultat, il a eu le mérite de vous démontrer l’importance de l’optique dans ce genre de procédé. Les courbes des lentilles sont trop importantes. Optez pour des lentilles de 5 ou 6mm.
4 :
Devrons-nous multiplier les lentilles pour difracter la lumière du laser, ou en trouver une seule qui le fera ?
Les esprits :
Une seule !
Jean-Luc :
Il faudra trouver la bonne lentille et si tenir…
Les esprits :
Ne l’avons-nous pas déjà écrit ?
5 :
Camille aimerait savoir si nous devrions nous fixer un point de référence dans l’espace afin de pouvoir nous guider dans l’orientation et le réglage des appareils ?
Les esprits :
Pour l’obtention d’une restitution holographique, l’emplacement du laser, des lentilles diffractives et le sens de l’observation stipulent des appuis stables et rigoureux, donc des emplacements définitifs oui.
Jean-Luc :
Au vue de tout cela et puisque nous devons construire la cabine du Module. Devons nous installer la configuration holographique avant ou après sa mise en place ?
Les esprits :
Et envisager les deux n’est pas possible ?
Jean-Luc :
Que voulez vous dire ?
Les esprits :
Pensez à votre cabine en prenant en compte les aspects de l’holographie.
Camille :
Mais ont-ils un conseil à nous donner pour les repères ?
Les esprits :
Tout dépend de votre degré d’avancement sur la restitution de l’hologramme. Pour l’heure vous utiliser le laser comme un élément perturbateur. Nous nous manifestons dans les franges des perturbations. Demain et nous l’avons déjà dit, la vidéo ne fera plus partie de ce procédé, sachez donc ce que vous installerez dans cette cabine et avisez.
Difficile d’aller plus en profondeur avec vous.
Éric Sébastopol et Tardieu.