Mardi 6 décembre 2016

English version

Les esprits :
La Transcommunication se fera au-delà du choix du matériel, puisque son objectif ne peut être désavoué. Ainsi il est possible ici-bas de réaliser des expériences de Transcommunication avec toutes sortes de techniques qu’il s’agisse d’optique ou d’acoustique. La Transcommunication est alors un creuset de moyens qui dans le choix identifient l’imagerie de ceux qui cherchent et qui découvrent. L’esprit ne pourra pour l’heure être maîtrisé, calculé, rendu patent avec vos appareils. Non, vous ne pourrez, et encore pour longtemps, que l’approcher, le pressentir. Aussi l’opiniâtreté ne sera utile que dans un seul but : concevoir mieux et toujours plus. Le choix des instruments est utile pour les chercheurs mais ne peut être rendu telle une convention à laquelle nous devrions nous conformer. Non, la singularité est encore de mise, mais doit tendre vers l’acceptation d’un principe, d’un calcul. Vos orientations techniques ne feront, au fil des temps, que de proposer cette particularité et donc d’inspirer d’autres chercheurs. De plus la science des hommes n’a pas tout découvert et dans toutes les disciplines il y aura un paragraphe à rajouter, une extension à programmer. Ainsi les sciences de l’optique et de l’acoustique posséderont une dimension supplémentaire que vous ne pourrez observer. La lumière peut être perçue encore autrement, et vos objectifs de demain seront alors dématérialisés. Mais avant d’en arriver là, il vous faudra encore parfaire votre approche en vous dépouillant des vieux réflexes humains.

Laurie :
Quelqu’un veut rebondir sur l’intro ou pas ?

La première question qu’on vous a préparé c’est Omar qui va vous la poser.

Omar :
Bonsoir, il y a quelques mois vous nous aviez dit que vous n’étiez pas satisfait du laser qui est actuellement dans la cellule et qu’il perturbe vos manifestations.

Devons-nous toujours le remplacer ? si oui et en fonction de nos moyens financiers, quel modèle nous recommandez-vous, quelle longueur d’ondes, quelle puissance ?

Les esprits :
Mes amis, vous avez bien mesuré l’aspect essentiel du photon qu’il soit excité ou pas. Cette particule est un support privilégiée capable de transporter notre intention. S’il y a un aspect dans votre configuration qui nous bouleverse le plus c’est bien votre laser car sa phase nous est perceptible bien plus que vos atomes de carbone par exemple. Voilà pourquoi nous vous parlions de parfaire votre installation. Celui que vous possédez pourrait faire l’affaire si seulement il n’émettait pas ces fluctuations qui déstabilisent notre influence. Nous préconisons donc de le remplacer ou tout au moins de le rendre plus stable.

Omar :
Donc il s’agit d’un problème d’alimentation je suppose, est ce qu’on peut utiliser l’alimentation que nous possédons déjà à l’IFRES qui est derrière moi, est ce que elle pourrait faire l’affaire ?

Les esprits :
Mon ami, tu es bien inspiré, suit donc ton instinct et ne t’encombre pas de mauvaises considérations, va à l’essentiel, sans t’écorcher sur les discussions sans envergures.

Laurie :
C’est bon Omar ? Merci pour cette question.

La prochaine question c’est Pascal qui va vous la posais sur les miroirs.

Pascal :
Donc, nous avons l’intention de réaliser un montage strioscopique linéaire sur l’axe de la grande parabole avec un miroir parabolique accolé à la grande parabole. Donc on envisage l’achat d’un miroir Kepler à 305 mm de diamètre avec une focale d’un mètre vingt, est-ce que ce serait convenable pour le montage ?

Les esprits :
Nous aurions préféré un miroir beaucoup plus grand, mais cela ne semble pas possible en suivant l’état physique de votre cellule. Il va falloir donc maîtriser les apports lumineux mais aussi de brume. Le cadre possible d’observation ne doit pas dépasser les limites de votre miroir. La strioscopie ne sera possible avec la brume que dans un plus petit étalement ou bien le miroir devrait être plus grand. Pour ne pas faire table rase de votre configuration, nous comprenons que les limites possibles de la longueur focale déterminent la circonférence du dit miroir. De ce faite, tout devra être mis à l’échelle grâce à des caches bien ajustés.

Laurie :
C’est bon Pascal ? Tu peux poser la deuxième question pour les besoins en brume stp ?

Pascal :
Donc, on avait discuté sur le fait de voir les infrasons avec la strioscopie ainsi que des perturbations plus ou moins chaotiques de l’air, donc on se disait, est-ce qu’on aura toujours besoin de brume à terme dans la nouvelle configuration ?

Les esprits :
La brume joue ici le rôle d’un révélateur ou d’un écran. La projection de formes aléatoires n’est possible que sur un écran. Celle-ci ne peut être faite directement sur le miroir, mais bien sur un élément translucide plus petit que la circonférence du miroir. La brume est donc utile pour cette configuration. Elle ne l’est plus si l’on ne considérant que les variations des supports sonores ou des perturbations basiques de l’air, puisque nous pourrons arriver au mêmes volutes avec une simple source de chaleur ou de lumière, comprenez-vous ?
Nous vous conseillons dans votre montage de ne pas projeter l’image générée de face mais dans un angle permettant de ne pas éclairer directement le miroir, penser au reflet…

Laurie :
C’est bon ?

Pascal :
C’est bon.

Laurie :
La prochaine question c’est Annick qui va vous la poser.

Annick :
Bonsoir, est-il utile de placer une résistance chauffante derrière le miroir ?

Les esprits :
Surtout pas ! Vous perturberiez l’air et donc créeriez d’autres particularités non voulues. Les perturbations ou supports maîtrisés devront se trouver au foyer de votre grande parabole. Pour les problèmes d’humidité ne vous inquiétez pas, vous vous apercevrez qu’il y aura beaucoup moins d’eau que prévue.

Laurie :
C’est bon Annick ?

Annick :
Oui.

Laurie :
La prochaine question c’est Sébastien qui va vous la poser.

Sébastien :
Très bien, donc bonsoir également (petite pointe d’humour envers Omar pour le bonsoir), donc ma question,
c’est à propos du générateur de formes, alors j’ai un petit doute sur le fait de générer une bouillie de pixels, je ne suis pas sûr que c’est vraiment ce qui vous est utile, mais admettons que ça irait, Pascal suggéré que pour générer des couleurs aléatoirement, le côté aléatoire de l’ordinateur qui se base sur le temps ne serait pas suffisant, il faudrait de l’aléatoire analogique, donc pourriez-vous confirmer que c’est le cas, et dans ce cas la, je voulais pousser l’idée un peu plus loin : Est-ce que ça pourrait vous être utile si on installe des petits capteurs dans la cellule comme un capteur d’humidité, un capteur infrarouge, de profondeur etc.., à déterminer encore, pour vous permettre d’influer légèrement sur le programme informatique qui va se servir de ces valeurs-là pour générer les couleurs, et du coup vous pourriez influer sur les teintes projeter sur la brume ?

Les esprits :
Mon ami, l’idée des capteurs est judicieuse mais nous ne pourrons à volonté les utiliser. Ou bien devrions-nous user d’une énergie qui nous manquera pour autre chose. Le principe convenu est de rendre (le plus sensible possible) un système aléatoire. Hors les capteurs que tu penses ne le sont pas. Mieux vaut alors essayer avec un capteur d’ionisation ou bien d’ondes électrodynamiques……..

……..Pascal :
Dynamique ou magnétique ?

Laurie :
Oui, en tout cas c’est marqué dynamique.

Les esprits :
L’infrarouge nous est utile mais dans une émission, tel un outil, une matière additionnelle. Nous ne pouvons à coup sûr couper un faisceau. À moins de posséder un médium susceptible de produire un effet de télékinésie.

Laurie :
C’est bon Sébastien ?

Sébastien :
Très bien, merci, mais du coup, j’aurais aimé une confirmation, une bouillie de pixels vous irait vraiment ?

Les esprits :
Non.

Sébastien :
Ah, (Pascal a l’air surpris), tu veux rebondir Pascal ?

Pascal :
Heu oui.

Les esprits :
Nous avons besoin de formes déjà créées, et non des sources possibles qui déterminent ces mêmes formes. Peut-être avons-nous manqué de précision. Nous allons influer sur le mouvement aléatoire d’un générateur de formes c’est-à-dire des carrés, des rectangles, des ronds, des ovales, etc., dans la proportion la plus petite possible selon la qualité bien sûre de vos outils. Le pixel de groupe de trois ne nous est pas utile. Nous ne pouvons influer sur leur illumination puisque l’énergie qui détermine cette action est prioritaire. Le fait de rendre aléatoire un système de formes nous permettra d’augmenter la récurrence au-delà de ce qui est possible selon la loi des probabilités.

Sébastien :
Merci, tu veux rebondir Pascal ?

Pascal :
Je peux rebondir ?
C’est-à-dire qu’imaginons qu’on envoie une série d’images cristallines comme des cristaux de carré, des cristaux de triangles, le tout à la suite dans une séquence aléatoire générée dans un générateur externe ça vous conviendrait le tout ?

Les esprits :
Oui beaucoup mieux.

Laurie :
C’est bon ?

Tout le monde :
C’est bon.

Laurie :
Pour la prochaine question c’est Valérian qui va vous la poser :

Valérian :
Tout d’abord bonjour, donc je me pose la question sur les images que vous envoyez : est-ce que les images que vous envoyez ont des caractéristiques particulières, comme par exemple un contraste plus élevé localement dans le domaine spatial et dans le domaine temporel ?

Les esprits :
Oui naturellement, le caractère spécial de nos images est qu’elles «renferment» notre volonté, notre signe, ce que vous appelez anomalies. Ces images sont médiocres et rendues visibles que par la médiamnisation de Joël. Sans sa sensibilité, grand nombre d’images aurait été invisible. Ce que produit médiumniquement Joël, nous pourrons l’approcher avec les mouvements aléatoires. Nous approcherons ainsi « la moindre résistance ». Lorsque vous serez arrivés à entendre bien plus nos sollicitations, alors vous conviendrez de nos manifestations sous d’autres formes. L’amélioration des contrastes et de la définition de vos outils est cependant profitable car vous multiplierez ainsi l’information utiles.

Laurie :
C’est bon ?

Valérian :
Vous avez répondu partiellement à la prochaine question, d’abord merci pour vos réponses. Donc pour améliorer le contraste, le contraste et d’autres caractéristiques de l’image bien sûre, je pensais à des méthodes de traitement d’images numériques, on peut faire beaucoup de choses avec le traitement d’image numérique, le premier c’est d’amélioré le contraste, le deuxième c’est d’aider Joël à faire une présélection des images, en se basant sur la somme des carrés des gradients, après certaines images qui sont floues on peut les rendre moins floues à l’aide de filtres, en plus y’a d’autres applications qui pourrait à terme aider à régler le dispositif, à éviter qu’il y ait trop de pixels saturés etc. j’oublie sûrement d’autres choses mais l’idée ça serait de prendre les images du dispositif et tenter de les analyser et de les améliorer suivant la situation, j’ai fini.

Les esprits :
Nous sommes en parfait accord avec cette étude, vos détracteurs le seront moins, car le travail des images est toujours suspicieux pour les non-voyants. En fait, le traitement des images pour améliorer leur lecture est profitable que lorsque le contact est avéré. Il vous faudra donc employer ces dispositifs lorsque vous conviendrez que nous pouvons nous manifester (d’une manière récurrente) et ce en vous envoyant autre chose que des formes intelligibles pour vous. L’étude automatisée ne sera possible que dans les conversions binaires de nos manifestations. En attendant il vous faut encore l’apport médiumnique.

Valérian :
Merci.

Laurie :
C’est bon ?

Valérian :
Nan c’est heu, c’est juste que je pense avoir une idée de ou vous voulais arriver.

Les esprits :
Oui, nous te le confirmons mon ami.

Valérian :
Olala, pardon l’expression, oh la vache, désolé

Les esprits :
Oui comme tu le dis.

Laurie :
La dernière question c’est Pascal qui va vous la poser :

Pascal :
Lorsque vous avez mentionné un champ infrasonore maîtrisé, est-ce que la superposition de deux sons audibles similaires ayant des écarts fréquentiels assez légers de l’ordre de 0,5 à 8 Hz pourraient être un bon candidat acceptable pour vous pour commencer, un peu comme les «Hemi sync».

Les esprits :
Oui car il vous est impossible matériellement de produire des infrasons avec votre matériel actuel. Donc cette intuition est louable.

Pascal :
OK, merci.

Laurie :
Est-ce que quelqu’un a une autre question sur la TCI ? Ah (les esprits écrivent)

Les esprits :
Mes amis nous vous laissons, votre médium est ennuyé avec sa vessie. Nous vous laissons à vos études et apprenez à bien commencer vos instants médiumniquement en proposant à vos âmes la paix essentielle.

Éric et Tardieu.